Chaudes-Aigues, Cantal, famille : mes inspirations

Sur mon blog, je rends hommage à celles et ceux qui, pour moi, constituent d’intarissables sources d’inspiration au quotidien : le village de Chaudes-Aigues, le Cantal et le pays de l’Aubrac, ma famille, et les anonymes ou célébrités pour qui j’ai développé la plus profonde admiration.

 

Un village : visiter Chaudes-Aigues pour y puiser l’inspiration

Sur ce blog, il est beaucoup question de Chaudes-Aigues, petite commune du Cantal connue pour abriter la source d’eau naturelle la plus chaude de toute l’Europe. C’est dans ce village, dont mes ancêtres et moi-même portons – à un tiret près – le nom, que j’ai élu domicile avec les miens il y déjà plusieurs années, loin de Paris et d’Avignon.

 

Si Chaudes-Aigues m’a inspiré à maintes reprises et continue de m’inspirer, c’est parce qu’il est à mon sens bien plus que la simple station thermale que veulent y voir les visiteurs pressés. Du centre-village aux rives de la Truyère, des ruelles du quartier du Par au bien-nommé cinéma La Source, le visage de la commune a plus d’une facette.

 

Un département et un pays : le Cantal et l’Aubrac

Sur ce blog, il arrive que l’inspiration que je couche avec mes mots transcende les simples frontières de Chaudes-Aigues. Elle s’aventure du côté de Fridefont, bifurque vers Neuvéglise, pénètre dans Espinasse, observe une halte à Lieutadès, et se hasarde parfois jusqu’à Saint-Flour.

 

En un mot, ce n’est pas uniquement le village qui m’inspire, mais bien tout le département dans lequel il s’inscrit : celui du Cantal et, avec lui, la Haute-Auvergne, le plateau volcanique de l’Aubrac, sans oublier les voisins que sont l’Aveyron et de la Lozère. Comment résister, dès lors que l’on y a goûté, à sa culture, à ses grands espaces, à ses collines à perte de vue ainsi qu’à ses paysages à couper le souffle ?

 

Une famille : mes ancêtres, mon épouse et mes enfants

Au gré des articles et billets publiés ici, je ne fais aucun secret de mon attache à ma famille. Celle qui m’accompagne au quotidien, d’abord : mon épouse Cécile, nos deux enfants, Enora et Louison, ainsi que leurs sœurs et frères aînés, Steven, Wesley, Shirley, Céline et Tamara.

 

Mais cette famille, c’est aussi celle que je n’ai pas directement connue et qui, pourtant, me porte dans mes passions et dans la manière dont je m’efforce de vivre ma vie. Cette famille, c’est celle de mes aïeux – ces pères et ces mères issus de Mallet, ces Jean, Étienne, Anastase, Eusèbe et autres Isabeau Fécilité, qui m’ont marqué autant qu’ils ont marqué de leur empreinte les abords du Bès.

 

Des femmes et des hommes : des amis ou talents qui m’inspirent

Au-delà des lieux et au-delà de celles et ceux qui me sont les plus proches, je relaie aussi dans cet espace les actions d’artistes, artisans, prestataires, célébrités ou anonymes qui, à mes yeux, revêtent un sens particulier.

 

Elles ou ils sont restaurateurs ou commerçants, élus ou travailleurs associatifs, tatoueurs ou artisans, simples Cantaliens ou citoyens du monde. À leur échelle, ils œuvrent à l’évolution de leur discipline ou au bien-être des leurs. Ce sont leurs initiatives, leurs parcours et leurs envies que je m’efforce de retransmettre en mots et en images.

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