Au mois de février 2019 est sorti sur grand écran Jeune bergère, film documentaire sur une Parisienne d’origine partie réaliser son rêve et vivre plus près de la nature. Un film inspirant… pour des raisons personnelles.
Vers une vie plus simple ? Seulement a priori
Mis en scène par Delphine Détrie, Jeune bergère nous invite à suivre Stéphanie, héroïne qui a su écouter ses envies. Faisant fi du qu’en dira-ton, la jeune femme a plaqué sa vie parisienne pour s’installer à la campagne et adopter un mode de vie que d’aucuns jugeront plus simple… mais pourtant semé d’embûches.
Les joies et les difficultés de la vie rurale
Stéphanie est aux antipodes du cliché de la bergère véhiculé par les livres pour enfants. Dans le Cotentin qu’elle a choisi pour nouveau domicile, elle expérimente ce que c’est que de mener une vraie vie d’agricultrice – celle qui rudoie et pousse à la constante remise en question. Autre facteur mis en relief par le film : Stéphanie n’est pas reçue à bras ouverts dans cette région à qui elle dédie pourtant sa nouvelle vie. À la tête de son troupeau, elle découvre au quotidien les joies et les difficultés de sa nouvelle vie rurale.
Un sujet qui m’inspire
La démarche de Stéphanie me plaît, m’inspire, et résume bien la volonté de changement et d’investissement que moi et les miens avons consacré à notre nouvelle vie à Chaudes-Aigues. Des investissements financiers, événementiels avec notamment le Cantal Ink, mais aussi émotionnels. Jeune bergère encourage chacun d’entre nous à vivre en harmonie avec qui nous sommes vraiment. Un code de conduite pour la suite ? Certes, du haut de notre maison caldaguèse et contrairement à Stéphanie, nous n’avons pas encore de moutons… mais nous avons bien des poules.
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Photos : KMBO