J’ai eu la chance d’avoir un beau papier dans le premier numéro de Inked.
Un grand merci à Mric et François Chauvin, que j’ai découvert plus tard et qui m’ont accompagné au fil de nos projets.
« Flash-back. Fin des seventies. Une cité dans cette zone qui cerne Paris et qu’on appelle déjà la banlieue.
Stéphane Chaudesaigues grandit là, dans ces blocs où envisager l’avenir revient à se cogner contre un mur. Il n’y a pas grand-chose d’autre que le sport pour échapper à sa condition, pour s’évader de la cité.
Le papa, le grand frangin sont tatoués et ça captive Stéphane, qui, précoce et au risque de fâcher toute rouge sa maman, se pique lui-même, à l’arrache, à… 11 ans.
Ces tatouages plus symboliques qu’artistiques, signes distinctifs d’appartenance à la marge, cette «culture de loubard» le fascinent.
Tout ce que trimballe le mot de tatoueur aussi. Et bien qu’il ne sache rien de ce métier, Stéphane Chaudesaigues se lance ».
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