Après Le Huffington Post, qui m’a fait l’honneur d’une tribune sur la question du statut du tatoueur, c’est au tour de La Montagne de s’intéresser au sujet. Dans un article intitulé Signe des temps, l’activité tatouage garde des contours flous et consultable gratuitement en ligne, le quotidien régional revient sur le débat d’un diplôme pour les tatoueurs de France.
La question du statut du tatoueur, de la radio à la presse
Le journal revient sur les clivages entre le SNAT et l’association Tatouage & Partage et me cite en ma qualité de président de cette dernière :
Il y a actuellement un vide préjudiciable à cette activité qui n'est pas reconnue comme un métier et donc ne bénéficie d'aucun statut. Situation qui présente le double danger de n'accorder aucune assurance professionnelle au tatoueur ni aucune garantie en termes de qualité du service rendu. Il est donc nécessaire que cette activité soit encadrée pour pouvoir être perpétuée dans les règles de l'apprentissage et de la sécurité pour tout le monde.
Une actualité qui parait quelques jours après l’émission radio relayée sur le site Totem et qui s’écoute toujours ici.