En tatouage, mes premières amours m’avaient amené à m’inspirer de visages humains pour dessiner et encrer des figures mythologiques – ma manière à moi de mêler sur papier et sur peau, le réel et l’imaginaire. Au mois de novembre, c’est dans cette mouvance que je me suis réinscrit le temps d’un tattoo.
Le projet ? Exploiter la photographie d’une enfant, la jeune fille de Laetitia, et l’enrichir d’un souffle magique. La figure du lutin était toute trouvée. Si, en lui-même, le mot désigne un petit être facétieux, voire un enfant espiègle et taquin, il n’est ici que mignonnesse sur les traits de la jeune enfant.
Au final : une reproduction fidèle du portrait soumis, auquel ont été affublées des oreilles d’elfe et un chapeau pointu. Merci à la tatouée pour ce joli projet !