Dans son édition du dimanche 8 octobre, le quotidien régional La Montagne signe un court billet sur-titré Électricité et revenant, à demi-mots, sur une difficulté à laquelle ni moi, ni mes proches ne nous attendions dans nos projets de restaurant à Chaudes-Aigues…
Un billet… électrisant
Le billet en question, le voici :
ÉLECTRICITÉ. S’il a décidé de mettre en sommeil le Festival du Tatouage Cantal Ink, Stéphane Chaudesaigues a d’autres projets. Dont celui d’ouvrir un restaurant à Chaudes-Aigues. Mais là encore, l’affaire s’avère compliquée… faute d’électricité. Le réseau électrique étant surchargé, il doit payer les travaux pour augmenter le débit. Et il attend le devis d’ErDF depuis le printemps… L’ouverture du restaurant, prévu début 2018, pourrait être décalée.
L’électricité, denrée rare à Chaudes-Aigues au 21ème siècle ?
En quelques lignes, le journal résume la situation ubuesque dans laquelle nous sommes plongés depuis plusieurs longues semaines, et fait écho à un article que j’avais publié sur ce même blog en septembre 2017 : Est-il donc si difficile en 2017 d’être connecté… à l’électricité à Chaudes-Aigues ?
Absurde, vous avez dit absurde ?
J’y dressais déjà un constat bien amer : ayant appris au printemps dernier que le réseau électrique étant surchargé, pour ne pas dire obsolète dans notre village, j’allais devoir payer des travaux allant du transformateur à notre restaurant à Chaudes-Aigues afin de pouvoir obtenir la puissance nécessaire à cette nouvelle activité – travaux qui me permettront d’avoir le droit de payer notre abonnement et notre consommation électrique !