J’aurais aimé que le SNAT puisse se positionner comme « le grand frère bienveillant du tatouage Français » et qu’il puisse, tous, nous défendre.
Bien veillant pour faire entendre aux nouveaux arrivants qu’il y a peut être des choses à éviter de reproduire, pour ne pas justement faire de « bêtises » et risquer d’attirer les foudres du gouvernement ou des administrations, sur toute une profession.
Nous avons tous commencés chez nous, « ou presque tous » en appartement ou à la maison, à une époque ou nous ne portions même pas de gants.
À une époque ou j’ai pu voir des anciens, commencer à faire l’effort d’en porter, pour ne plus les quitter tout au long de la journée.
Je les ai vu fumer leur clope avec, et chercher leurs billets au fond de leur poche, sans jamais les ôter.
Comble du comble, nous serrer la poigne sans même penser faire à mal.
Cette époque n’est pas si lointaine, il y a 25 ans seulement.
Oui, autre temps autre mœurs, pourrions nous dire, mais n’oublions pas d’ou nous venons, et de quelle façon on peut nous représenter, aujourd’hui !