Le graphite, ses différentes valeurs et la qualité du papier, des similitudes avec l’encre noir pour le tatouage et ses dilutions, pour obtenir les nuances nécessaires au modelé, dans la peau, comme sur le papier.
Oui des similitudes qui permettent de prendre plaisir en jouant avec les dégradés et la lumière, le blanc du papier ou celui de la peau.
Un minimum d’interventions, pour un maximum d’effets, ce qui permet de couvrir de grandes surfaces de peau ou de papier, sans forcément saturer toute la surface des différents supports.
Une technique qui nécessite peu de matériel, des crayons, du papier, quelques gommes et du temps.
Une bonne manière de pousser les détails, mais aussi de jouer avec la gomme mie de pain, pour ouvrir les lumières.
Sans doute la seule chose que l’on ne puisse pas encore faire avec le tatouage.
Remarquez qu’avec la technique du laser ou du cutting on peut encore s’y essayer.
