Les plaquistes ont démarré cette semaine. Ordonnés et organisés, ils ont investi les étages sans faire de bruit.
En attaquant le second œuvre, on éprouve presque une sensation d’aboutissement, même s’il reste encore beaucoup à faire – ne rêvons pas non plus. Quelques huit-cent mètres de surface habitable, ça occupe forcément.
Les premiers rails sont posés et, comme une locomotive qui s’élance avec habitude, les jours laisseront place aux semaines et là, le chantier laissera apparaître les volumes. Le choix d’isoler est une priorité ; thermique, forcément, mais phonique aussi pour éviter les « nuisances », afin de profiter des concerts sans culpabiliser pour le voisinage.
Ça réduit forcément le volume des pièces, mais cela nous offrira de l’animation en centre-bourg, avec tout le confort et l’accès des autres commerces à proximité.
L’idée reste la même : réussir à créer un lieu de vie et d’échanges culturels, en restant au village.
Voici quelques photos, le chantier a bien plus avancé, on aura l’occasion d’en faire davantage.
Lundi, rendez-vous à Aurillac avec Pierre pour caler l’implantation de la cuisine et des bars, sans oublier la chambre froide.
Vous êtes nombreux à me demander quand nous ouvrirons. Je réponds souvent qu’à présent, nous avons le temps, le pire semble être passé, même si les médias annoncent une seconde vague « covidienne ».
Restons positifs et optimistes. Chaudes-Aigues, malgré les embûches, s’est fait une beauté et sera prête pour briller encore et davantage que par le passé.
Pour preuve : tous les investissements faits par des privés.
Reste à espérer que la Région et nommément M. Wauquiez s’impliquent pour relancer au plus tôt Caleden et, bientôt, l’eau chaude coulera à flot, peut-être aussi dans nos fontaines.