Comme vous le savez suite à notre action sur le dossier des encres couleur et leur sauvegarde, le problème de l’absence du statut des tatoueurs a été abordé au ministère.
Comme évoqué pendant notre entretien du 12 décembre 2013, les administrations comptent pour 2014 structurer notre profession et légiférer en accord avec les textes européens, afin de pouvoir entre autre, lutter contre le danger que représentent le travail clandestin, en terme de santé public.
Nos actions ont suscité de la part de M. Cyril Auville, Président de l'association " Syndicat national des artistes tatoueurs", une véritable vendetta sur les réseaux sociaux et un appel au boycott de toutes nos actions, allant jusqu'à délibérément tenter de salir un nom, celui d’une famille mais aussi les membres de notre association, Tatouage et Partage.
Nous avons donc saisis la justice pour faire entendre à M. Auville qu’il n’était pas possible en France de salir impunément, les personnes ou les différents courants de pensées qu’elles représentent.
Nous avons décidé de ne pas pénaliser financièrement l’association du SNAT et les membres qui ne se sont pas forcément reconnus dans les actions de leur président.
C’est pour cette raison que la plainte est nominative et ne concerne pas l’association « syndicat national des artistes tatoueurs ».