"Ces trois mots commencent chacun par le suffixe « in » : il indique qu’il y a un manque", souligne La Dépêche d’Auvergne dans son édition du 8 mars 2019, en introduction de l’article "Information, interrogation et inquiétude" dédié à Chaudes-Aigues et à la fermeture du thermoludisme à Caleden. "[Ce manque] pourrait se traduire en l’occurrence par une connaissance incomplète de ce qui se passe dans l’environnement, de ce qui va ou devrait se passer, cette ignorance provoquant une moindre sérénité, inquiétude pour l’avenir de chacun et de la société à laquelle il appartient", précise le journal régional.