Ce nouvel épisode législatif qui touche le monde du tatouage pourrait être comparé à ce que nous avons entendu aux informations lors de l’épisode de la centrale de Tchernobyl…
Le nuage ne devait pas passer nos frontières. Euh ben oui les nuages, surtout ceux qui sont radioactifs, écoutent les infos et surtout les hommes politiques c’est bien connu.
Bon là quand même rien d’aussi alarmant qu’une centrale qui fuit mais quand même un projet de loi avec un souci de rédaction majeur (même si c’est un tout petit article de ce projet de loi qui nous occupe). En effet ce projet de loi qui est censé ne concerner que ce qui est en rapport avec la détention, le stockage ou l’importation des encres parle aussi des tatoueurs.
Il nous dit que les tatoueurs professionnels ne sont pas concernés par toutes ces contraintes de loi que contient le projet de loi justement.
Mais au fait c’est quoi un professionnel du tatouage ?
C’est un tatoueur qui a pignon sur rue ?
C’est un gars qui tatoue dans sa cuisine mais qui a quand même fait ces 3 jours à l’hygiène ?
C’est la jeune femme qui tatoue dans sa caravane immatriculée comme commerçante et qui paye ses charges ?
On définit comment qu’un tatoueur est dit professionnel ?
Et c’est justement là ou le bât blesse, si on ne peut dire qui est un tatoueur professionnel c’est tout simplement parce que le métier de tatoueur n’existe pas ! Ni artisan ni artiste, cette profession n’existe pas légalement et encore moins fiscalement.
Il faut donc impérativement obtenir un statut de tatoueur qui nous permette d’exister légalement, fiscalement, socialement.
Alors certains nous diront on s’en bat les couilles : bon ben grand bien leur fasse mais nous on se sent concernés et on a préféré en parler car cela nous paraît comme le nuage de Tchernobyl être un réel souci qui se profile à l’horizon.
Il faut donc comme nous l’avons dit au ministère de la santé, modifier cet article 6 mais il faut surtout obtenir un statut de façon à avoir une réelle protection dans un cadre professionnel et juridique établi.
Alors on n’est pas tous obligé d’être d’accord, on n’est pas tous obligé de comprendre la même chose mais notre juriste nous a alarmé en nous disant que cela pouvait être un article de loi réellement préjudiciable.
Nous sommes donc en contact avec les administrations qui nous ont bien confirmé cette confusion dans le texte et nous ont dit vouloir avancer avec nous sur le projet du statut.
C’est en revanche un dossier qui réunit différents interlocuteurs tels que le ministère du travail, des finances et de la santé et qui donc avance lentement. Mais nous avançons.
Nous invitons donc ceux qui se sentent concernés à nous rejoindre, pour les autres pas de souci, chacun est libre de penser ce qu’il veut et surtout d’aller où bon leur semble et surtout sur d’autres pages Facebook ;)
Des Informations…
Ce nouvel épisode législatif qui touche le monde du tatouage pourrait être comparé à ce que nous avons entendu aux informations lors de l’épisode de la centrale de Tchernobyl…
Le nuage ne devait pas passer nos frontières. Euh ben oui les nuages, surtout ceux qui sont radioactifs, écoutent les infos et surtout les hommes politiques c’est bien connu.
Bon là quand même rien d’aussi alarmant qu’une centrale qui fuit mais quand même un projet de loi avec un souci de rédaction majeur (même si c’est un tout petit article de ce projet de loi qui nous occupe). En effet ce projet de loi qui est censé ne concerner que ce qui est en rapport avec la détention, le stockage ou l’importation des encres parle aussi des tatoueurs.
Il nous dit que les tatoueurs professionnels ne sont pas concernés par toutes ces contraintes de loi que contient le projet de loi justement.
Mais au fait c’est quoi un professionnel du tatouage ?
C’est un tatoueur qui a pignon sur rue ?
C’est un gars qui tatoue dans sa cuisine mais qui a quand même fait ces 3 jours à l’hygiène ?
C’est la jeune femme qui tatoue dans sa caravane immatriculée comme commerçante et qui paye ses charges ?
On définit comment qu’un tatoueur est dit professionnel ?
Et c’est justement là ou le bât blesse, si on ne peut dire qui est un tatoueur professionnel c’est tout simplement parce que le métier de tatoueur n’existe pas ! Ni artisan ni artiste, cette profession n’existe pas légalement et encore moins fiscalement.
Il faut donc impérativement obtenir un statut de tatoueur qui nous permette d’exister légalement, fiscalement, socialement.
Alors certains nous diront on s’en bat les couilles : bon ben grand bien leur fasse mais nous on se sent concernés et on a préféré en parler car cela nous paraît comme le nuage de Tchernobyl être un réel souci qui se profile à l’horizon.
Il faut donc comme nous l’avons dit au ministère de la santé, modifier cet article 6 mais il faut surtout obtenir un statut de façon à avoir une réelle protection dans un cadre professionnel et juridique établi.
Alors on n’est pas tous obligé d’être d’accord, on n’est pas tous obligé de comprendre la même chose mais notre juriste nous a alarmé en nous disant que cela pouvait être un article de loi réellement préjudiciable.
Nous sommes donc en contact avec les administrations qui nous ont bien confirmé cette confusion dans le texte et nous ont dit vouloir avancer avec nous sur le projet du statut.
C’est en revanche un dossier qui réunit différents interlocuteurs tels que le ministère du travail, des finances et de la santé et qui donc avance lentement. Mais nous avançons.
Nous invitons donc ceux qui se sentent concernés à nous rejoindre, pour les autres pas de souci, chacun est libre de penser ce qu’il veut et surtout d’aller où bon leur semble et surtout sur d’autres pages Facebook ;)