Avant l’intervention des peintres et doreurs
Je vous en ai souvent parlé, et pour cause.
En regardant Laurent Gastal œuvrer sur ce projet, depuis sa conception avec l’aide de Manuel Peirrera le sculpteur, nous arrivons enfin à la phase finale de l’installation de l’habillage, sur l’ensemble du rez-de-chaussée pour l’immeuble destiné à recevoir notre restaurant.
Une démarche qui s’inscrit véritablement dans le souhait de créer un lieu de vie atypique. Mais de cela, nous reparlerons.
L’installation est terminée et c’est avec plaisir que je vous partage les dernières photos prises, avant l’intervention des peintres et doreurs.
La couleur blanche qui sert de couche d’impression pour protéger le bois ne restera pas, même si personnellement, je trouve intéressant ce rendu.
Un grand merci à ces deux hommes, qui ont su comprendre nos attentes mais qui ont surtout réussi à s’imprégner d’une période, d’un courant artistique et surtout d’une époque, que nous définirons comme étant « la Belle Époque ».
Le lien avec ce Paris qui a accueilli nombre d’Auvergnats, en quête de réussite, laisse encore de magnifiques enseignes ou façades illustrant les plus belles brasseries ou bistrots.
C’est un petit bout de ce Paris mais surtout de cette période, que nous souhaitions « exploiter » pour faire le lien avec Chaudes-Aigues. Pour ceux qui sont restés, bien sûr, mais aussi par goût pour une communication qui fait également écho au tout début de l’activité thermale.
La Belle Époque, oui, qui sous l’impulsion de tous, pourraient bien être d’actualité.
J’ai eu l’occasion d’échanger sur le sujet avec M. Brousse, ancien maire du village, mais également l’ancien directeur de la station thermale.
Si nous sommes d’accord pour constater avec la plus grande joie un nouvel essor au village, nous ne pouvons que constater l’urgence et l’impérieuse nécessité d’ouvrir le thermoludisme.
Il faut du volume et de la fréquentation pour faire travailler, vivre tous ses investisseurs, qui sont en très grande majorité des investisseurs privés.