convention-tatouage-bourges-covid-stephane-chaudesaigues.jpg
« Ce week-end, le Pavillon d’Auron accueille la sixième édition du Bourges Tattoo Ink », rapportait Le Berry républicain le 24 octobre 2020. « L’occasion de franchir le pas pour certains, de compléter leur collection pour d’autres mais surtout d’agir pour la bonne cause », précise le quotidien.
Steven Chaudesaigues, Barbara Rosendo, Kalil Moktar…
Le journal dédie un article à « l’événement organisé […] à Bourges par […] Gomette et sa femme Mélanie ». Le quotidien bérichon cite quelques personnalités présentes : l’Avignonnais-Orangeois Steven Chaudesaigues, la Parisienne Barbara Rosendo, et le Rennais Kalil Moktar, « au milieu des 72 tatoueurs venus de toute la France ».
Une surface accrue pour une meilleure distanciation sociale
« Tatouages réaliste, graphique, en couleur, en noir et gris, maori, cartoon : tous les styles seront représentés », énumère Le Berry républicain. Et ce, en composant avec les restrictions sanitaires. « On avait l’habitude d’accueillir 2 500 personnes sur le week-end », confie Gomette. Mais « cette année, on n’a pas d’objectifs sur ce plan », ajoute l’organisateur. Il a réservé « le Pavillon d’Auron et ses 2 500 m2 plutôt que les habituels 1 500 m2 du Palais d’Auron voisin, distanciation physique oblige », explique le journal. « La jauge sera limitée à 650 personnes présentes en simultané sur le site ».
Sensibiliser à la mucoviscidose
Bon gré mal gré, l’objectif-clé de la rencontre demeure : celui, comme le rappelle le journal, de lever des fonds au profit de l’association Grégory Lemarchal. « Cette convention a avant tout été créée pour faire parler de la mucoviscidose », rappelle Gomette, dont un membre de l’entourage proche est atteint de la maladie.