Au mois de juin 2015, j’ai été contacté par le magazine Respect Mag pour intervenir dans un dossier intitulé « Quand l’art casse les codes ». Une poignée de semaines plus tard, ledit dossier était en ligne. Petite séance de rattrapage pour celles et ceux d’entre vous qui n’auraient pas encore plongé dedans.
Le dossier dans son intégralité
www.respectmag.com/dossiers/discrimination-physique/2015/06/30/quand-lart-casse-les-codes
Crédit photo : Dams
« Modifier sa peau, c’est agir sur son identité »
Aux côtés de Betty Mercier-Lefèvre, anthropologue des pratiques corporelles artistiques et enseignante à l’Université de Rouen, j’interviens dans la partie consacrée au tatouage. « Modifier sa peau, c’est agir sur son identité », annonce l’article, avant de revenir sur les origines du tattoo et sa perception dans notre société contemporaine.
Crédit photo : Dams
De Tatouage au Village…
Au sein du dossier rédigé par le journaliste Julien Legros, on parle discriminations, on parle symbolisme, mais on traite aussi du tatouage dans sa forme la plus récréative. Dans ce cadre, j’ai pu revenir sur Tatouage au Village, quelques jours avant la venue de l’événement.
Crédit photo : Dams
au statut du tatoueur
De fil en aiguille(s), le dossier s’arrête sur le statut du tatoueur, ambigu, pointant toujours aux abonnés absents, ainsi que sur les questions essentielles de la formation et de l’apprentissage dans le milieu du tattoo français. « On ne peut pas transmettre ce savoir légalement », ai-je eu l’opportunité de confier. « Ce qui était bon il y a 40 ans ne l’est pas forcément aujourd’hui », conclue-je.